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Keskejévu

Bons baisers de Norvège - Épisode 12 : Grand humain, petites aventures

10 Septembre 2017 , Rédigé par Romain Publié dans #Voyages

Quoi de neuf ?

Voici que se finit la 12ème semaine que je passe en Norvège, et pourtant j'ai l'impression que cela fait bien plus de temps tellement certaines choses peuvent désormais sembler familière et maintenant que l'habitude est bien installée. Cela veut aussi dire que, quand un peu d'inconnu vient toquer à la porte de la routine, il faut savoir s'y intéresser. Cela a-t-il été le cas de cette semaine ?... Mwaaallez, "vite fait".

Semaine du 4-10 Septembre

Oui, je précise les dates de la semaine parce que suite au nouveau format de ces articles ça pouvait toujours être un peu confus de se situer temporellement.

Pour le travail, je me suis enfin retrouvé à plein temps sur la conception, l'implémentation et le test d'une bonne soixantaine de nouvelles cartes pour le jeu, me concentrant cette fois-ci sur les deux factions que j'ai conçues pour la version de démonstration aux éditeurs (dont ils ne verront probablement que 5 minutes, mais ça servira toujours par la suite pour l'équipe, et moi ça me permet de mettre au point des règles de conception pour les cartes). Bon, en réalité une vingtaine de ces cartes ne peuvent pour l'instant pas être intégrées au prototype car le lundi nous avons mis en place un "gel des fonctionnalités" temporaire. C'est-à-dire que nous avons décidé qu'à partir de vendredi soir, nous n'ajouterions plus de nouvelles fonctionnalités au jeu afin d'avoir déjà une version "complète" à montrer le plus rapidement possible, et nous avions donc la semaine pour essayer de bien finir celles qui étaient en cours. Et, vous l'aurez compris, les cartes que je n'ai pas pu ajouter avaient besoin de nouvelles fonctionnalités que nous n'avons pas pu traiter dans l'espace des 5 jours travaillés (d'autant qu'Andreas était assez pris par des réunions et était censé se reposer car apparemment blessé à l'épaule, et Simon avait déjà bien à faire concernant l'intégration de l'interface que j'avais conçue au jeu). Maintenant, la prochaine étape sera de tester encore et encore ce que nous avons afin de l'équilibrer et corriger ce qui ne va pas. Et vu qu'on a maintenant possibilité de jouer en ligne, ça va tout de suite être plus pertinent que les précédents tests où on pouvait voir les cartes de l'adversaires, etc.
En parallèle, j'ai gentiment commencé la rédaction de mon rapport de stage (youhouuu -_-), avec comme objectif d'en avoir fini pour le 18 (laissant ainsi quelques 5 jours au studio pour le relire et y retoucher avant mon départ ; après, si besoin, les mails ça existe).

 

La seule barre que j'aurais testée de la semaine pour le goûter. Du chocolat "soufflé" dans du chocolat, au point que c'en était presque écœurant. À côté, c'est un fruit (impossible de retrouver le vrai non, mais c'était un truc du genre "Prommel" ou "Pormmel"...). En apparence on dirait une pêche, mais c'est plus élastique, si je puis dire. Quand on l'a dans la main, ça donne l'impression d'être rebondissant, et c'est un peu plus ferme à croquer. Pas mauvais, il faudrait que je re-goûte pour vous en faire vraiment une description (de manière générale ça ne vaut pas le raisin blanc, dont je m'enfile systématiquement 500 grammes en moins de 2h chaque fois que j'en achète... avec en record une vingtaine de minutes, et non je n'ai pas honte).
La seule barre que j'aurais testée de la semaine pour le goûter. Du chocolat "soufflé" dans du chocolat, au point que c'en était presque écœurant. À côté, c'est un fruit (impossible de retrouver le vrai non, mais c'était un truc du genre "Prommel" ou "Pormmel"...). En apparence on dirait une pêche, mais c'est plus élastique, si je puis dire. Quand on l'a dans la main, ça donne l'impression d'être rebondissant, et c'est un peu plus ferme à croquer. Pas mauvais, il faudrait que je re-goûte pour vous en faire vraiment une description (de manière générale ça ne vaut pas le raisin blanc, dont je m'enfile systématiquement 500 grammes en moins de 2h chaque fois que j'en achète... avec en record une vingtaine de minutes, et non je n'ai pas honte).
La seule barre que j'aurais testée de la semaine pour le goûter. Du chocolat "soufflé" dans du chocolat, au point que c'en était presque écœurant. À côté, c'est un fruit (impossible de retrouver le vrai non, mais c'était un truc du genre "Prommel" ou "Pormmel"...). En apparence on dirait une pêche, mais c'est plus élastique, si je puis dire. Quand on l'a dans la main, ça donne l'impression d'être rebondissant, et c'est un peu plus ferme à croquer. Pas mauvais, il faudrait que je re-goûte pour vous en faire vraiment une description (de manière générale ça ne vaut pas le raisin blanc, dont je m'enfile systématiquement 500 grammes en moins de 2h chaque fois que j'en achète... avec en record une vingtaine de minutes, et non je n'ai pas honte).

La seule barre que j'aurais testée de la semaine pour le goûter. Du chocolat "soufflé" dans du chocolat, au point que c'en était presque écœurant. À côté, c'est un fruit (impossible de retrouver le vrai non, mais c'était un truc du genre "Prommel" ou "Pormmel"...). En apparence on dirait une pêche, mais c'est plus élastique, si je puis dire. Quand on l'a dans la main, ça donne l'impression d'être rebondissant, et c'est un peu plus ferme à croquer. Pas mauvais, il faudrait que je re-goûte pour vous en faire vraiment une description (de manière générale ça ne vaut pas le raisin blanc, dont je m'enfile systématiquement 500 grammes en moins de 2h chaque fois que j'en achète... avec en record une vingtaine de minutes, et non je n'ai pas honte).

De par mes occupations (et parce que c'est tranquille au studio), je suis souvent rentré tard cette semaine. Mais ça valait le coup pour la vue depuis le pont :). Par contre le message que j'avais montré lors de mon dernier article a disparu, tristesse...

De par mes occupations (et parce que c'est tranquille au studio), je suis souvent rentré tard cette semaine. Mais ça valait le coup pour la vue depuis le pont :). Par contre le message que j'avais montré lors de mon dernier article a disparu, tristesse...

Finalement, le seul vrai évènemment de la semaine eut lieu Vendredi soir, où je me suis retrouvé à prendre le bus pour sortir de Bergen et rejoindre des gens que je ne connaissais même pas... Bon, le topo c'est qu'il s'agissait en fait d'amis de Patrick, le game developper que j'ai rencontré samedi dernier. Comme on avait échangé nos contacts, on a continué à discuter un peu le reste de la semaine, et il m'a fait savoir qu'il allait à une réunion de "gamers" en fin de semaine, me proposant de l'accompagner. Moi, quand on me dit "ils jouent souvent à Smash et ils ont pas mal de jeux de plateau", forcément je dis que j'y vais :P. C'est là que l'histoire devient intéressante...

Dès le lendemain, Patrick me dit qu'il s'est rappelé avoir autre chose à faire ce jour-là, me faisant toutefois savoir que sa sœur comptait y aller et proposait de m'accompagner. Seulement, j'ai eu beau envoyer des messages au numéro qu'il m'a donné, pas de réponse, et apparemment la sœur ne recevait rien. Et inversement, j'ai bizarrement reçu un message commençant par +33 (comme un numéro français) qui avait l'air de venir de la demoiselle, mais qui n'était que partiel... Finalement, en passant par l'intermédiaire de Patrick, j'apprends que sa sœur (dont, vous l'aurez compris, je n'ai toujours pas le nom) fini de toute façon le travail après moi (il s'est avéré qu'elle n'est finalement même pas allée au rendez-vous). Fort heureusement, il m'avait aussi passé le numéro d'un certain Thomas, qui lui habitait sur place, avec qui je me suis arrangé.

Voilà donc que je débarque au milieu d'un groupe de 5 geeks le Vendredi soir après le boulot. Quelques présentations plus tard (passant notamment par la question "tu "main" qui sur Smash ?"), la glace est rapidement brisée et on aura passé la soirée à se mettre dessus sur le jeu... Enfin, il y en a surtout deux d'entre eux qui ont un peu explosé tout le monde. Une bonne occasion d'essayer de s'améliorer un peu, et j'ai tout de même eu quelques victoires assez chanceuses. De leur côté, il ne voyaient pas tant de monde jouer mes personnages, donc ça les changeait un peu aussi. Et, dans l'ensemble, ils ont été très accueillants et m'ont invité à juste leur dire si je voulais faire quelque chose en particulier.

En conclusion, ils m'ont invité à les rejoindre de nouveau les vendredis suivants ^^.

Pour certains ce n'est pas forcément très impressionnant (surtout avec les doublons), mais, comme je le disais, ils ont déjà une bonne collection de jeux de plateau. Je n'y ai pas touché cette fois-ci (d'autant que ceux ayant lâché leur manettes l'ont fait pour jouer à Magic), peut-être la semaine prochaine ?

Pour certains ce n'est pas forcément très impressionnant (surtout avec les doublons), mais, comme je le disais, ils ont déjà une bonne collection de jeux de plateau. Je n'y ai pas touché cette fois-ci (d'autant que ceux ayant lâché leur manettes l'ont fait pour jouer à Magic), peut-être la semaine prochaine ?

Bon, forcément, après une soirée comme celle-ci, dont je suis rentré dans l'un des derniers bus de la journée en compagnie d'un certain Christopher (qui faisait partie des deux meilleurs joueurs), le réveil ne fut pas très matinal samedi. Je peux même dire que j'ai fait une BGGM ("bonne grosse grasse mat'", comme on dit dans le langage technique), car la maison était étonnamment calme (il semblerait que seule Anita était présente ce week-end, et elle n'était même plus là quand je me suis levé). Poussé par la force de la flemme, l'heure déjà bien avancée et le temps pluvieux, je me suis fait violence pour bien rester à l'intérieur :P. Bon, ça m'aura toujours permis d'avancer encore un peu sur le rapport de stage entre deux moments de glandouille.

Par conséquent, le musée de la semaine a attendu le dimanche pour que je le visite. Il s'agit cette fois-ci du Musée Maritime de Bergen, qui, contre mes attentes, fut l'un des plus rentables du séjour. Certes, j'ai pris du temps pour prendre des notes et des photos, mais j'y suis resté bien deux heures (contre environ une dans les deux précédents) pour une entrée à 40 couronnes norvégiennes (où là c'était souvent le double pour les autres)... Je ne sais pas, peut-être que ce que j'y ai vu m'a particulièrement parlé ou quelque chose, parce qu'en soit le musée n'est pas particulièrement grand mais est en revanche bien documenté.

Je vous fais faire un tour ? C'est normal si ça prend un peu de temps : j'étais le premier à rentrer dans le musée (j'étais à l'entrée 5 minutes avant l'ouverture) et j'ai facilement une dizaine de groupes qui ont quand même réussi à ressortir avant moi.

Quelques proues pour commencer, puis on attaque les choses dans l'ordre chronologique avec une gravure et un "log boat", un "bâteau-rondin".Quelques proues pour commencer, puis on attaque les choses dans l'ordre chronologique avec une gravure et un "log boat", un "bâteau-rondin".Quelques proues pour commencer, puis on attaque les choses dans l'ordre chronologique avec une gravure et un "log boat", un "bâteau-rondin".

Quelques proues pour commencer, puis on attaque les choses dans l'ordre chronologique avec une gravure et un "log boat", un "bâteau-rondin".

Les bateaux ont toujours eu une grande importance ici. Non seulement ils étaient beaucoup utilisés au moyen-âge pour la pêche et la chasse de mammifères marins, mais ils sont aussi le motif le plus fréquent des gravures datant de l'âge de bronze (-1700 à -500). Vous le savez peut-être, mais ils avaient aussi un rôle à jouer lors de rituels.

Dans le cas du "log boat" ici, il s'agit d'un bateau typique de pêche de montagne, datant de -200 à -100 (mais ils ont apparemment été utilisés jusqu'au début des années 1900 !). Ce genre d'embarquation était fait en pin.

Le musée est plein de maquettes de bateau. Le musée est plein de maquettes de bateau.
Le musée est plein de maquettes de bateau. Le musée est plein de maquettes de bateau.

Le musée est plein de maquettes de bateau.

Dans l'ordre :

Un "Oseberg ship", mesurant habituellement 22 mètres de long pour 5 de large, en chêne et pouvant naviguer à environ 10 nœuds. Celui sur lequel est basé cette maquette aurait été utilisé pour les funérailles d'une femme importante en 834.

Le suivant, trouvé au Danemark dans les années 1880, est le "Hjortsrping boat" (oui oui, le "r" est bien avant le "p"), un bateau de guerre de 20 mètres de long, datant d'environ -350 et pouvant transporter 24 hommes sans pour autant dépasser le poids de 570 kilos. À côté furent trouvées des armes témoignant de la présence d'une armée d'une centaine de guerriers, et on suppose qu'il a été démonté dans le cadre d'un rituel car il était dans un marécage (parce que s'il avait une centaine d'hommes à ses côtés, c'était probable qu'ils furent victorieux et que ce n'était pas l'ennemi qui avait détruit le bateau).

Vient ensuite une maquette de "Nydam boat", à la base de 23 mètres. Lui aussi fut probablement "sacrifié", comme c'était souvent le cas entre 200 et 475. Il date probablement de 320, pouvait transporter 30 personnes et était en chêne.

Enfin, pour le quatrième, il s'agit d'un "Kvalsund ship", prédecesseur des navires vikings. Il date de 690, mesurait environ 18 m (la maquette est à échelle 1:6), était -encore une fois- en chêne et devait probablement pouvoir transporter une vingtaine de personnes. Cependant, celui-ci ne présentait aucune trace prouvant qu'il avait déjà navigué, ce qui laisse encore une fois supposer qu'il avait un rôle rituel à jouer.

Quelques morceaux d'un autre bateau, une maquette d'un "Gokstad ship" (890, voguant à environ 12 nœuds et ayant été utilisé pour les funérailles d'un homme important vers 900), et enfin un "Mast Fish", un bout de bois servant à renforcer le mât dans les bateaux vikings.Quelques morceaux d'un autre bateau, une maquette d'un "Gokstad ship" (890, voguant à environ 12 nœuds et ayant été utilisé pour les funérailles d'un homme important vers 900), et enfin un "Mast Fish", un bout de bois servant à renforcer le mât dans les bateaux vikings.
Quelques morceaux d'un autre bateau, une maquette d'un "Gokstad ship" (890, voguant à environ 12 nœuds et ayant été utilisé pour les funérailles d'un homme important vers 900), et enfin un "Mast Fish", un bout de bois servant à renforcer le mât dans les bateaux vikings.Quelques morceaux d'un autre bateau, une maquette d'un "Gokstad ship" (890, voguant à environ 12 nœuds et ayant été utilisé pour les funérailles d'un homme important vers 900), et enfin un "Mast Fish", un bout de bois servant à renforcer le mât dans les bateaux vikings.

Quelques morceaux d'un autre bateau, une maquette d'un "Gokstad ship" (890, voguant à environ 12 nœuds et ayant été utilisé pour les funérailles d'un homme important vers 900), et enfin un "Mast Fish", un bout de bois servant à renforcer le mât dans les bateaux vikings.

Le bateau était à la fois un symbole de pouvoir, de prospérité et de domination. Leur utilisation lors des rites funéraires était réservée à la haute société viking (de 750 à 1050) ; en même temps, s'ils cramaient à chaque fois un bateau par mort, ils seraient vite tombés à court. Sans surprise, ils avaient une symbolique de transition (passage de la vie à la mort, traversée du fleuve Gjöll qui est à peu près l'équivalent du Styx dans la mythologie nordique...).

(Faites défiler) Ici, pêle-mêle, des poteries attestant des échanges internationaux par bateau, des dragons qui ornaient habituellement les navires vikings, quelques objets par-ci par-là, une maquette de bateau hanséatique (environ 24 mètres de long, échelle 1:36), des meules en pierre, des ancres en pierre (en utilisation depuis le moyen âge jusqu'à... nos jours), et une reconstitution d'une tranche de bateau.
(Faites défiler) Ici, pêle-mêle, des poteries attestant des échanges internationaux par bateau, des dragons qui ornaient habituellement les navires vikings, quelques objets par-ci par-là, une maquette de bateau hanséatique (environ 24 mètres de long, échelle 1:36), des meules en pierre, des ancres en pierre (en utilisation depuis le moyen âge jusqu'à... nos jours), et une reconstitution d'une tranche de bateau.
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(Faites défiler) Ici, pêle-mêle, des poteries attestant des échanges internationaux par bateau, des dragons qui ornaient habituellement les navires vikings, quelques objets par-ci par-là, une maquette de bateau hanséatique (environ 24 mètres de long, échelle 1:36), des meules en pierre, des ancres en pierre (en utilisation depuis le moyen âge jusqu'à... nos jours), et une reconstitution d'une tranche de bateau.
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(Faites défiler) Ici, pêle-mêle, des poteries attestant des échanges internationaux par bateau, des dragons qui ornaient habituellement les navires vikings, quelques objets par-ci par-là, une maquette de bateau hanséatique (environ 24 mètres de long, échelle 1:36), des meules en pierre, des ancres en pierre (en utilisation depuis le moyen âge jusqu'à... nos jours), et une reconstitution d'une tranche de bateau.

Vous l'aurez compris, on arrive ici dans la période médiévale, mais dans l'ensemble on a déjà vu cela dans les musées précédents (ligue hanséatique, tout ça...).

(Faites défiler) Plus de batôôôôôôs (et bien d'autres à venir encore), suivis de quelques instruments de navigation.
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Dans l'ordre :

"Kalman ship", en utilisation de 1400 à 1500, probablement marchand. Le modèle sur lequel est basé cette réplique à l'échelle 1:10 avait été trouvé en Suède.

"Nordfjord-jekt" (1:20)

"Nordland-jekt" (1:20 aussi)

Nous arrivons alors dans la période de l'âge d'or Danois, alors que, dans les années 1600s, ils dominent économiquement les mers. L'Angleterre a alors tenté de leur imposer des restrictions par le biais des "actes de navigations de 1651", leur interdisant une partie des eaux. Ceci a donné lieu à une guerre, provoquant la diminution progressive de la dominance Danoise (disparue vers 1800).

Et durant cette guerre pris place une bataille restée célèbre à Bergen...Et durant cette guerre pris place une bataille restée célèbre à Bergen...
Et durant cette guerre pris place une bataille restée célèbre à Bergen...Et durant cette guerre pris place une bataille restée célèbre à Bergen...

Et durant cette guerre pris place une bataille restée célèbre à Bergen...

La bataille en question opposait les Danois, soutenus par la forteresse de Bergen, et l'Angleterre en Août 1665. Pour résumer, les Anglais ont tenté de prendre un navire Danois qui était chargé d'or alors qu'il passait par Bergen. Le roi des Danois-Norvégiens Fredrik III avait alors commencé à former une alliance avec l'Angleterre, laquelle voulaient de lui que la forteresse ("Bergenhus Fortress") n'intervienne pas. Or le roi n'était pas encore sûr de lui et fut appliquée la loi de neutralité : la forteresse a attaqué les premiers à ouvrir le feu... à savoir les impatients anglais. Ces derniers, malgré les multiples tentatives de la forteresse d'amener à un cessez-le-feu, on poursuivit le combat jusqu'à leur défaite (contre une soixantaine de navires danois). L'acquisition de cet or aurait apparemment pu avoir un impact géopolitique particulièrement important car l'Angleterre avait alors de grosses difficultés à l'époque. Cette bataille fut plus tard le prétexte d'une nouvelle guerre en 1766.

Si la bataille a marqué Bergen, c'est aussi parce que, à cause de la fumée et du vent, les navires anglais ne voyaient pas bien vers où ils tiraient et de nombreux dégâts ont été causés à la ville (dont le fameux boulet qui aurait heurté l'église ; j'ai d'ailleurs découvert que je me suis totalement planté sur sa supposée localisation dans le mur ><).

(Faites défiler) Des maquettes, encore des maquettes, quelques instruments de navigation et un tout pitit canon !
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Concernant les navires représentés, nous avons là :

Un navire danois-norvégien (1:48 ; haaa, ça commence à devenir gros là !)

Le "Orlogsfregatt" (1:48)

Un navire marchand armé ; à partir de 1628, un décret royal donnait des privilèges d'échange aux navires marchands si leurs bateaux étaient armés.

La "Bark Henrik Ibsen"

Un "Brigg" de 1844 (1:48)

Et ici, le "Jenhark Australia" (1/4":1', de 1886) et "Galeas" (1:50, de 1798).

Et ici, le "Jenhark Australia" (1/4":1', de 1886) et "Galeas" (1:50, de 1798).

Nous sommes passés par la partie témoignant de la grande croissance de la flotte marchande de Norvège qui eut lieu de 1850 à 1880. Elle fut permise suite à l'aborgation des lois anglaises sur la navigation, donnant alors naissance à l'âge d'or des voiliers.

Au début des années 1800, Bergen commença à jouer un gros rôle dans la construction de bateaux, qui dura jusqu'en 1870, période de l'essor des bateaux à vapeur.

(Faites défiler) Maquette représentant l'entretien d'un bateau, quelques modèles réduits de navires, de grosses poulies, du matériel de bord (dont un kit médical) ou ramené de voyage...
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Pour les maquettes de bateau, nous avons ici le "Anna Magdalena" (1/4":1', de 1783) et le "Fullrigger Hebe" (de 1856), considéré comme le chef-d'œuvre de l'homme dont vous voyez le portrait derrière : Ananias Dekke (1832-1892), célèbre designer/constructeur de bateau, originaire de Bergen.

Dans les années 1880, il y avait plus de 63 000 marins norvégiens sur les mers. Leur première sortie se faisait généralement entre l'âge de 14 et 16 ans, et ils recevaient une bonne paye selon les standards norvégiens. Le travail sur les bateaux consistait généralement en de la maintenance et une lutte constante pour arriver à destination le plus vite possible.

La vie à bord n'était pas bien rose : les repas étaient peu variés, et la consommation d'alcool était haute (jusqu'à ce que cela soit remplacé par le café et le thé). Les marins avaient généralement à s'occuper des rats et cafards, et la mauvaise hygiène faisait que les épidémies de typhus et de choléra se répandait facilement. Dans les ports, ils avaient à craindre les violences et les vols, et les aiguilles mal lavées des tatoueurs transmettaient l'hépathite, la syphilis et la tuberculose. D'autres maladies étaient nutritionnelles, comme le scorbut (dû à un manque de vitamine C), et le béribéri (manque de vitamine B). Les morts les plus communes étaient dues aux maladies, aux accidents et aux blessures.

Pour la vie de famille, on a connu mieux. Nombreux étaient ceux mourant jeune sans avoir fondé de famille. Pour les autres, comme le travail sur les bateaux était généralement saisonnier, ils restaient chez eux en hiver. Il n'était cependant pas inhabituel pour eux de partir 3 ou 4 ans de la maison. Les femmes de marins formaient généralement des groupes entre elles. Parfois, la famille du capitaine était autorisée à bord (mais était restreinte à son espace), car ce rôle était très solitaire (ils devaient garder de la distance avec leurs employés à cause de leur position).

(Faites défiler) On va finir rapidement le premier étage, parce qu'il commence à faire faim et un peu frais. Nous sommes ici dans les années 1900, avec un petit intérieur dans le style de l'époque.
(Faites défiler) On va finir rapidement le premier étage, parce qu'il commence à faire faim et un peu frais. Nous sommes ici dans les années 1900, avec un petit intérieur dans le style de l'époque.
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(Faites défiler) On va finir rapidement le premier étage, parce qu'il commence à faire faim et un peu frais. Nous sommes ici dans les années 1900, avec un petit intérieur dans le style de l'époque.
(Faites défiler) On va finir rapidement le premier étage, parce qu'il commence à faire faim et un peu frais. Nous sommes ici dans les années 1900, avec un petit intérieur dans le style de l'époque.

(Faites défiler) On va finir rapidement le premier étage, parce qu'il commence à faire faim et un peu frais. Nous sommes ici dans les années 1900, avec un petit intérieur dans le style de l'époque.

Pour la maquette que vous pouvez voir dans la série de photos précédentes, il s'agit du "Statsraad Lehmkuhl" datant de 1914. Ce bateau était notamment dédié à la formation des jeunes marins sur régates, et il pouvait accueillir jusqu'à 200 cadets.

(Faites défiler) Nous arrivons maintenant à la période des bateaux à vapeur.
(Faites défiler) Nous arrivons maintenant à la période des bateaux à vapeur.
(Faites défiler) Nous arrivons maintenant à la période des bateaux à vapeur.
(Faites défiler) Nous arrivons maintenant à la période des bateaux à vapeur.
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(Faites défiler) Nous arrivons maintenant à la période des bateaux à vapeur.

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Le premier bateau à vapeur norvégien fut le "Constitutionen" (seconde maquette de la série), en 1827 (cependant, l'Angleterre avait déjà construit son premier navire du genre en 1712 !). Ce premier modèle amorça le début d'une lente transition, qui attendra le début des années 1900 pour finalement dépasser la proportion de bateaux à voile.

(Faites défiler) Bon, là ce sont les dernières maquettes dont j'ai pris les noms parce que c'est pas comme si ça allait vous apporter grand-chose non plus ^^'.
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Nous sommes alors à une période d'émigration massive vers les États-Unis : 700 000 Norvégiens partent alors, faisant de la Norvège le deuxième pays envoyant le plus de migrants après l'Irelande.

Pour les maquettes, nous avons :

Le "Oslofjord" (1:100, de 1938), ou le quatrième bateau de la première ligne transatlantique fiable à assurer la liaison Norvège-États-unis, fondée en 1913.

Suit le "D/S Britannia" (1/4"/1', de 1890)

Le "D/S Leda" (1920-1945)

Et enfin le "M/S Venus" (1:50, de 1931). Celui-ci s'est apparemment illustré dans le sauvetage de l'équipage d'un autre navire, le "Trym", comme représenté sur la peinture.

À partir de là, j'ai juste rapidement avancé dans la suite du musée, égalemment parce qu'il n'y avait plus beaucoup de panneaux explicatifs ou parce que j'étais moins intéressé. Je vous laisse profiter des photos.

(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
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(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.
(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.

(Faites défiler) On notera que le bout de tôle froissée un peu moche est en fait un morceau du "Voorbade", le fameux bâteau danois ayant explosé dans le port de Bergen le 20 avril 1944 alors qu'il était chargé de munitions. 158 morts et 4800 blessés dans la ville, youhou... Et on finit avec une dernière photo bien joyeuse d'une mine sous-marine américaine aussi.

Juste pour faire un dernier point rapide sur la Norvège durant la seconde guerre mondiale : sur le plan maritime, cela représentait environ 1 000 navires marchands, soit environ 30 000 marins ! Ils auraient apparemment apporté 40% de son pétrole à la Grande-Bretagne.

Et voilà qui conlut la visite ! Un petit musée avec beaucoup à dire, donc, et le personnel était très sympa.

Encore une fois, la visite de musée annonce la fin de l'article, d'autant plus que j'ai fait la visite le Dimanche et j'ai donc foncé au studio ensuite.

Juste histoire de finir, deux petites...

Anecdotes

-Je ne sais pas si je l'ai déjà dit dans les articles précédents, mais j'ai remarqué que pour les Norvégiens, c'est assez "facile" de reprendre des études. Je veux dire par là que j'ai croisé beaucoup de cas de personnes disant avoir exercé un premier travail après leur diplôme, pour finalement retourner faire de nouvelles études un peu plus tard. Du coup, c'était assez fréquent lors des fêtes et autres dîners chez Anita que, quand je demandais à quelqu'un ce qu'elle faisait et quand bien même elle avait l'air d'avoir la trentaine passée, elle me réponde qu'elle finissait ses études de [quelque chose].

-Lorsqu'on achète du pain ici, il y a généralement un large choix de miches en magasin. Et, à côté d'elles, il y a toujours un tranchoir électrique pour avoir déjà son pain en tranche.

Les miches sont donc généralement dans un sac en papier. Le tranchoir (j'aime bien celui de ce magasin avec ses yeux) est tout bête : on ouvre le couvercle, on met le pain, on ferme le couvercle, et le pain ressort tranché. Là, généralement, on récupère le pain et on le pose sur la barre en fer que vous pouvez voir, ce qui sert à le glisser dans un sac en plastique. Le tout emballé, on le remet dans son sac en papier et direction la caisse.Les miches sont donc généralement dans un sac en papier. Le tranchoir (j'aime bien celui de ce magasin avec ses yeux) est tout bête : on ouvre le couvercle, on met le pain, on ferme le couvercle, et le pain ressort tranché. Là, généralement, on récupère le pain et on le pose sur la barre en fer que vous pouvez voir, ce qui sert à le glisser dans un sac en plastique. Le tout emballé, on le remet dans son sac en papier et direction la caisse.

Les miches sont donc généralement dans un sac en papier. Le tranchoir (j'aime bien celui de ce magasin avec ses yeux) est tout bête : on ouvre le couvercle, on met le pain, on ferme le couvercle, et le pain ressort tranché. Là, généralement, on récupère le pain et on le pose sur la barre en fer que vous pouvez voir, ce qui sert à le glisser dans un sac en plastique. Le tout emballé, on le remet dans son sac en papier et direction la caisse.

Voilààààà~.

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A
beau blog. un plaisir de venir flâner sur vos pages. une belle découverte et un enchantement. un blog très intéressant. J'aime beaucoup. N'hésitez pas à visiter mon blog (lien sur pseudo) au plaisir
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R
Merci pour votre commentaire, content que cela vous ait plu ! Le dernier article du séjour en Norvège sera publié demain si tout va bien ;).